Less than 24 Hours

Et c'est reparti ? Dans 24 heures, je serai dans mon appartement à Quimper. Dans 30 heures, je serai à l'avant dernier rang de la salle B112, à l'extrême gauche, à écouter un cours qui ne m'interressera pas, que je n'aimerai pas, et problablement que je n'aimerais jamais. Dans 48 heures, je serai reparti, dans la routine habituelle. La routine préparationnaire, la classe prépa littéraire, moi qui suis en fait, un faux littéraire. Ces vacances malgré le côté on ne peut plus festif et convivial, avait un arrière goût, une touche d'amer, un grain de sable dans mon "existence" qui a entravée ses rouages davantage qu'ils ne l''étaient avant ce dernier cours de l'année 2008. L'année 2009, si elle a magnifiquement commencée, a déjà commencée à se ternir. C'est hier, où j'ai eu dans la nuit, une sorte d'éclaircissement, une explication de ces maux de ventre qui me turlupinaient depuis pas mal de temps. Bien que le caractère physique ne fut en aucun cas à oublier, comme l'absorption d'alcool, et de mal bouffe entre amis, il y'a un malaise bien plus profond que quelques digestions difficiles.
Ce Malaise, c'est celui de la rancœur. Celui de la rancœur, où finalement la classe préparatoire malgré une "bonne ambiance" me saoule. J'ai l'impression que je m'éloigne déjà des gens avec qui j'avais su créer quelque chose. Ils ont fait leur nouvel an à part, en clan, en tribu. Ils restent congestionnés dans leurs nouvelles amitiés, en zappant quelque part les anciennes du lycée ou peut être encore plus loin. Et c'est là où le bas blesse. C'est là où la prépa me fait CHIER ! C'est vraiment un truc communautaire. Tu sors du truc, c'est comme ci, tu ne peux être intégrés dans les groupes de travail, et c'est encore pire si tu n'es pas interne. C'est là où le bas blesse, la prépa, c'est pire que les orgies romaines.