Car écrire ca à un peu un caractère compulsif, jouissif.
Bonsoir human being,
Il est 01h38, nous somme le 19 juillet 2009. Nous sommes en Europe, France, Bretagne, Finistère, Brest, Lambézellec. La température est de 15° et le fond de l'air est humide. Les parents rentrent demain vers 15h-16h et la baraque que j'occupe depuis une semaine est un peu (voire beaucoup pour ne pas dire complètement en bordel). Même si c'est moins pire que prévu car :
- Certains ont visité le toit.
- D'autres ont voulu faire un barbecue à 08h00 du matin et pour aller plus vite ont cramé essuie-tout, allumes-feu (qu'ils soient liquides ou en briques), Rhum. Donc merci le tuyau d'arrosage pour éviter les dégâts = pelouses soit transformées en gadoues ou cramées.
- D'autres (enfin les mêmes), qui s'amuse à escalader ma baraque via la baie vitrée.
- Les coups d'extincteurs sur le barbec, et l'azote c'est pas cool pour mes plantes.
- Ma mare transformée en urinoir et en bar à bière.
- Les "Un, Deux, Trois ... BORDEL !" dans ma chambre
- And LAST BUT NOT LEAST, les batailles de chipolatas, chipolatas bien grasses concentrées principalement sur mes ardoises, mes vitres, mes fenêtres inatteignables, et quelques voitures.
Bref c'était le bordel. Ah il fallait me voir, sous la flotte brestoise toujours au rendez-vous, avec mon K-way jaune (au cas où je tombe, je suis facilement remarquable) avec ma serpillère entrain d'essayer de dégraisser mes ardoises ou autres facades de ma baraque. Sachant que j'ai fait ça Mardi, je pue encore et toujours la chipo et le punch. Mais on a bien rigolé. C'était fun. OUUUAII. Mon chien pue, mes poissons ont bu de la bière, de la pisse et de la pisse de bière. Je sens la nuit blanche cleanage de baraque.
Mais j'avais besoin d'aller m'envoyer dans la Vème dimension du crad et du binge drinking. Car j'ai alors mais un très mauvais, mais alors pas bon du tout présentiment pour Lundi et Mercredi.
PLEASE BELIEVE IN ME UNIVERSE.